lundi 11 juillet 2011

Il est 5 heures, Paris s'éveille. [Jacques DUTRONC]

Au passage, je me suis créée une page Facebook ( oui j'ai osé avec mon peu de fan o_o ) où vous pourrez retrouver des photos que je n'afficherai pas sur ce blog ( ce sera un peu un bazar personnel ) ainsi que les photos présentes sur le blog mais sous forme d'albums ( si j'en ai assez ^^' ). Bon, assez de blabla, je vous laisse avec le lien de la page qui se trouve ici : It's Another Universe [Photography]










mardi 5 juillet 2011

Un tour de manège autour de nos vies. Nos vies qui tournent en rond. Un tour de magie pour voir si le voyage vaut le coup [...] Ce beau manège, ce grand manège, me met la tête à l’envers.


Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie qu’on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit chaperon rouge. CHARLES PERRAULT





C'est l'histoire d'une petite fille innocente, muni d'un panier d'osier rempli de provisions, qui se rendait chez mère grand mais qui en chemin rencontra le grand méchant loup .... 

Kazakhstan, à la rencontre d'une autre culture.

Республика Казахстан
[République du Kazakhstan]





La musique kazakhe n'est autre qu'une découverte à faire, la découverte d'une nouvelle culture musicale, d'un nouveau monde. Cette musique dégage quelque chose de singulier, beau et étrange à la fois. Mais au bout de quelques morçeaux, cette musique nous facine. La façon de tenir l'instrument, la façon de jouer les notes ... Tout ça dès leur plus jeune âge. Les jeunes enfants Kazakhs ne sont pas assez reconnus pour leur talent musical qui est pourtant incroyable. Ils ont un énorme potentiel, leur musique envoie du rêve. 

Une rose rouge ? Serait-ce une déclaration ?


Cette rose rouge qui représente un amour passionné. Un amour intense qui finira par me mener à la folie. Le comprendras-tu un jour ? Oui, comprendras-tu un jour que je t'aime. Je suis tombée éperdument amoureuse de toi. Je pensais pouvoir te résister, mais non. C'était plus fort que moi, il a fallu que je tombe, que je me fasse mal au coeur en t'aimant. Tu es celui dont je rêvais, celui que je voudrais comme prince charmant. T'épouser ? Bien sur que je le désire. Je n'attendais que ça, que tu me le demandes, à genou avec ta boite contenant cette bague. Combien as-tu déboursé pour l'avoir ? Oh, ça va, la somme reste raisonnable. Cette bague est magnifique. Empressons-nous de fixer la date, de nous marier, de fonder une famille. [...] Et voilà. Encore un foutu rêve, un rêve où tout était trop beau pour être vrai, un rêve où nous vivions heureux ensemble, un rêve où nous nous tracions un avenir commun. Ce foutu réveil a encore tout gâché. Il m'a fait revenir à la réalité, cette réalité ou je souffre de cet amour fou, cette réalité où tu offres des roses à une autre moi, cette réalité où tu as des projets avec cette même autre fille, cette réalité où je ne suis qu'une "bonne amie", cette réalité où tu es loin de te douter combien je t'aime, combien j'en crève, combien j'ai besoin de toi, de toi et de ton amour.


« Trop souvent, ce qu'on désire le plus au monde, est justement ce que l'on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le cœur, vous anéantir. Le désir peut faire de votre vie en enfer. C'est dur de vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir. Mais ceux qui souffrent le plus, sont ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent. »
Grey's Anatomy 

Auschwitz, marcher avec une boule au ventre là où des milliers de gens ont été exécutés.


« J’espérais naïvement pouvoir expliquer un jour comment un psychopathe de génie comme Adolf Hitler avait pu transformer une des nations les plus civilisées du monde en une machine à tuer obtuse et dénuée de sens moral. »
L'Échiquier du mal - Dan SIMMONS ]

Je ne serai vous dire si y avoir été est une fierté ou non. Auschwitz n'est pas un site touristique comme les autres. Non. C'est avant tout un site historique sur lequel s'est déroulé une partie de l'histoire, pas seulement de la France, mais du monde. Qui n'a jamais entendu parler des horreurs qui se sont produites dans ces camps ? Qui ne s'est jamais demandé comment un homme avait pu causer autant de dégâts, détruire autant de vie ? Lorsque l'on voit des photos, l'émotion est forte. Face à des témoignages, elle l'est plus encore. Mais je peux vous dire, que lorsque vous y marchez, que vous passez exactement au même endroit où sont passées des personnes innocentes, ou presque, condamnées à mort sans le savoir ... Vos émotions se trouvent bouleversées. Vous ressentez de la haine envers Adolf Hitler et ses alliés, de la compassion envers les familles qui y ont perdu des proches, un minimum de soulagement que tout cela soit fini ... En réalité, les émotions que l'ont ressent lorsque l'on marche sur les traces de l'histoire liée à ce génocide sont difficiles à exprimer. Il faut y avoir été pour comprendre que même sans avoir perdu quelqu'un dans un camp, l'émotion est forte et vous forme une boule au ventre et une envie de venger toutes ces personnes exécutées pour rien, mais malheureusement le cours de l'histoire s'est fait ainsi et nous ne pouvons pas revenir en arrière pour empêcher ses horreurs.
Si vous en êtes arrivés là, c'est que vous avez parcouru tout mon blog ou alors que vous vous êtes directement rendu à la dernière page pour lire mon blog à l'envers, et donc du plus ancien au plus récent. Si vous avez fait le tour, j'espère que ce dernier vous a plu et si vous faites parti des personnes de l'autre situation, je vous souhaite une agréable visite et vous invite à commenter ( les critiques sont les bienvenues, positives ou négatives, qu'elles m'encouragent ou m'aident à avancer ).Dans les 2 cas, je vous invite à repasser régulièrement au cas où un nouvel article serait en ligne. Et si vous tenez vraiment à suivre mon actu je vous invite à rejoindre mon Twitter @myotheruniverse et si vous voulez me contacter par mail c'est par ici.
Merci de votre visite, j'espère vous revoir bientôt. ;)